Mon parcours de thérapeute

 

Danseuse, professeure, chorégraphe de danse d’inspiration Africaine.
Psychothérapeute orientée par la psychanalyse, sophrologue, hypnologue.
Danse thérapeute

La rencontre avec la danse d’expression Africaine s’est faite lors d’un stage au Centre de formation professionnelle d’études supérieures en danse, à Nice, Off Jazz, avec Stéphane Mensah danseur ethnique en formation. J’avais 20 ans.

Crédit photo @Sophie Catala

Crédit photo @Estelle Boissier

Saisie par le plus intime de mes vibrations intérieures, j’étais convoquée là, en deçà des mots, appelée à danser. La mise en mouvement de l’énergie de vie réveillait une des mémoires du corps des plus archaïques: le rythme primitif. La résonance de ces nouvelles sensations me fascinait et m’interpellait.

Associée aux rythmes des percussions, cette nouvelle esthétique gestuelle que je découvrais me procurait également une grande joie.

Un dialogue vibratoire et organique se créait en réponse avec les musiciens. Instinctivement, j’ai mis en place la technique du « cri » comme jeu d’appel/réponse.
Passionnée, je commence mon initiation avec un
danseur ethnique Congolais. Deux ans, huit heures par semaine, sans aucune explication, j’apprenais par mimétisme. La répétition du geste, produisait un certain état modifié de conscience, une approche légère de la transe. Les techniques abordées étaient le lâcher-prise, la vibration de la colonne vertébrale et le rebond.

Ma formation a débuté auprès de Germaine Acogny sénégalaise. Sa méthode met l’accent sur la symbolique de la figure de danse et sur l’adhérence du danseur au sol

J’ai suivi un cursus de formation avec Koffi Kôkô, Haris’Do Vincent Béninois, Doriane Larcher Afro Caraïbéenne et d’autres… Ce que je retiens de cet enseignement est toujours le phénomène hypnotique que produit la répétition, le mouvement de la colonne vertébrale, qu’il soit
circulaire, ondulatoire, saccadé, toujours accordé à l’appui du pied au sol.
Parallèlement, je me formais en tant qu’éducatrice sportive, ce qui m’amena à avoir un centre de remise en forme au sein duquel je créais une école de danse d’inspiration Africaine contemporaine et une compagnie « les Félines ». .

Je devins directrice artistique de l’ antenne de la FEIDA: fédération internationale de danse et musique Africaine, en région PACA

Crédit photo @Sophie Catala

Mon parcours de thérapeute

Danseuse, professeure, chorégraphe de danse d’inspiration Africaine.
Psychothérapeute orientée par la psychanalyse, sophrologue, hypnologue.
Danse thérapeute

La rencontre avec la danse d’expression Africaine s’est faite lors d’un stage au Centre de formation professionnelle d’études supérieures en danse, à Nice, Off Jazz, avec Stéphane Mensah danseur ethnique en formation. J’avais 20 ans.

Crédit photo @Estelle Boissier

Saisie par le plus intime de mes vibrations intérieures, j’étais convoquée là, en deçà des mots, appelée à danser. La mise en mouvement de l’énergie de vie réveillait une des mémoires du corps des plus archaïques: le rythme primitif. La résonance de ces nouvelles sensations me fascinait et m’interpellait.

Associée aux rythmes des percussions, cette nouvelle esthétique gestuelle que je découvrais me procurait également une grande joie.

Un dialogue vibratoire et organique se créait en réponse avec les musiciens. Instinctivement, j’ai mis en place la technique du « cri » comme jeu d’appel/réponse.
Passionnée, je commence mon initiation avec un danseur ethnique Congolais. Deux ans, huit heures par semaine, sans aucune explication, j’apprenais par mimétisme. La répétition du geste, produisait un certain état modifié de conscience, une approche légère de la transe. Les techniques abordées étaient le lâcher-prise, la vibration de la colonne vertébrale et le rebond.

Ma formation a débuté auprès de Germaine Acogny sénégalaise. Sa méthode met l’accent sur la symbolique de la figure de danse et sur l’adhérence du danseur au sol

J’ai suivi un cursus de formation avec Koffi Kôkô, Haris’Do Vincent Béninois, Doriane Larcher Afro Caraïbéenne et d’autres… Ce que je retiens de cet enseignement est toujours le phénomène hypnotique que produit la répétition, le mouvement de la colonne vertébrale, qu’il soit circulaire, ondulatoire, saccadé, toujours accordé à l’appui du pied au sol.
Parallèlement, je me formais en tant qu’éducatrice sportive, ce qui m’amena à avoir un centre de remise en forme au sein duquel je créais une école de danse d’inspiration Africaine contemporaine et une compagnie « les Félines ». .

Je devins directrice artistique de l’ antenne de la FEIDA: fédération internationale de danse et musique Africaine, en région PACA

Pour m’imprégner de la culture Africaine et afin d’enrichir ma pratique et ma pédagogie, en 1992, je pars danser, en cours particuliers avec des danseurs du Ballet National du Bénin.

J’ai eu la chance d’avoir un entretien privé avec un conférencier spécialiste des rites Vaudous; à Ouidah, j’ai visité deux temples dont celui du Serpent et, j’ai assisté à la sortie des masques en étant la seule femme blanche de l’assemblée (300 personnes…). Pour cette cérémonie, les danseurs initiés sont payés par des familles pour incarner et faire vivre à travers leur danse , un défunt.

J’étais très impressionnée, et je me souviens qu’un des musiciens est venu jouer à 50 cm de moi avec son tambour parlant, pour honorer ma présence. La vibration était si intense qu’elle a laissé une mémoire corporelle qui s’anime à chaque fois que j’entends un de ces tambours. Ce fut un voyage initiatique, riche d’apprentissage et de transmission orale. Je garde en mon coeur la force spirituelle et le lien avec le sacré qui s’en dégagent.

J’ai rencontré Aaron Kouassi Ivoirien. Son travail est influencé par les techniques vibratoires centrées au niveau du sternum et de la colonne vertébrale.
Mes recherches sur le mouvement s’orientaient toujours vers les origines de la danse, pour me relier à mes racines primitives et tout ce qui touche l’archaïque en soi. Je recherchais l’épuration du geste, le sensible, je m’ancrais et m’enracinais.

Crédit photo @Jérôme Kaminski

Crédit photo @Jérôme Kaminski

Pour m’imprégner de la culture Africaine et afin d’enrichir ma pratique et ma pédagogie, en 1992, je pars danser, en cours particuliers avec des danseurs du Ballet National du Bénin.

J’ai eu la chance d’avoir un entretien privé avec un conférencier spécialiste des rites Vaudous; à Ouidah, j’ai visité deux temples dont celui du Serpent et, j’ai assisté à la sortie des masques en étant la seule femme blanche de l’assemblée (300 personnes…). Pour cette cérémonie, les danseurs initiés sont payés par des familles pour incarner et faire vivre à travers leur danse , un défunt.

J’étais très impressionnée, et je me souviens qu’un des musiciens est venu jouer à 50 cm de moi avec son tambour parlant, pour honorer ma présence. La vibration était si intense qu’elle a laissé une mémoire corporelle qui s’anime à chaque fois que j’entends un de ces tambours. Ce fut un voyage initiatique, riche d’apprentissage et de transmission orale. Je garde en mon coeur la force spirituelle et le lien avec le sacré qui s’en dégagent.

J’ai rencontré Aaron Kouassi Ivoirien. Son travail est influencé par les techniques vibratoires centrées au niveau du sternum et de la colonne vertébrale.
Mes recherches sur le mouvement s’orientaient toujours vers les origines de la danse, pour me relier à mes racines primitives et tout ce qui touche l’archaïque en soi. Je recherchais l’épuration du geste, le sensible, je m’ancrais et m’enracinais.

Crédit photo @Sophie Catala

Il me fallait mettre des mots sur ce qui reliait ma vie, ma danse, ma pédagogie.
J’ai entrepris une formation de psychothérapeute avec comme outils l’hypnose et la sophrologie, afin de comprendre ce qui fait soin.
J’ai découvert la danse primitive avec France Schott Billmann. La lecture de ses ouvrages ont éclairé ma pratique. Je suis intervenue dans sa formation en présentant mon approche sur les mouvements du coeur reliés à l’ancrage et l’enracinement.

L’étude de la psychanalyse et mon analyse m’amènent en 2009 à m’inscrire au Collège Clinique Psychanalytique du Sud-Est. Cette nouvelle approche m’aide à réfléchir à « ce qui pousse à la création » et « le besoin de danser ».
En 2010, je retourne au Bénin accompagnée de ma fille Ore et de sept de mes danseuses. Dès notre arrivée, la reviviscence des ancrages vécus lors du premier voyage fût immédiate. Etonnant!

J’ interviens en tant que danse thérapeute et professeure de préparation physique pour les stagiaires et des danseurs du Ballet. Nous assistons au rite de la panthère, la sortie des masques et nous dansons avec des danseurs locaux.

C’est à force de vivre dans ma chair cette danse Africaine, de l’enseigner, de la transmettre, que je me suis rendue compte de ses bien-faits corporel, émotionnel et psychique. J’ai eu le désir d’en extraire certaines techniques, pour les adapter à ma pratique de psychothérapeute, sophrologue et hypnothérapeute.

J’ai élargi mes recherches sur la danse des cinq rythmes de Gabrielle Roth, la thérapie par le mouvement d’ Anna et Daria Halprin et la danse spontanée.

Il m’a fallu des années pour me libérer de certains codes gestuels acquis par ces enseignements pour en dégager une danse libre, sensorielle et instinctive: celle tant recherchée!

Je pars d’une impulsion, d’une idée, d’une émotion, d’un senti, je me laisse inspirer et j’accueille ce qui advient: le geste spontané relié à soi et au monde.

Le fil conducteur est l’écoute de la vibration de mon coeur reliée entre enracinement et enciellement.

Ce qui m’intéresse, c’est la joie retrouvée que procure la danse. Celle-ci anime passionnément l’être et fait vibrer le vivant.

2021, je crée ma méthode :

La danse des rythmes du vivant qui devient :  La danse de l’onde de vie en six mouvements.

Crédit photo @Jérôme Kaminski

Crédit photo @Sophie Catala

Il me fallait mettre des mots sur ce qui reliait ma vie, ma danse, ma pédagogie.
J’ai entrepris une formation de psychothérapeute avec comme outils l’hypnose et la sophrologie, afin de comprendre ce qui fait soin.
J’ai découvert la danse primitive avec France Schott Billmann. La lecture de ses ouvrages ont éclairé ma pratique. Je suis intervenue dans sa formation en présentant mon approche sur les mouvements du coeur reliés à l’ancrage et l’enracinement.

L’étude de la psychanalyse et mon analyse m’amènent en 2009 à m’inscrire au Collège Clinique Psychanalytique du Sud-Est. Cette nouvelle approche m’aide à réfléchir à « ce qui pousse à la création » et « le besoin de danser ».
En 2010, je retourne au Bénin accompagnée de ma fille Ore et de sept de mes danseuses. Dès notre arrivée, la reviviscence des ancrages vécus lors du premier voyage fût immédiate. Etonnant!

J’ interviens en tant que danse thérapeute et professeure de préparation physique pour les stagiaires et des danseurs du Ballet. Nous assistons au rite de la panthère, la sortie des masques et nous dansons avec des danseurs locaux.

C’est à force de vivre dans ma chair cette danse Africaine, de l’enseigner, de la transmettre, que je me suis rendue compte de ses bienfaits corporel, émotionnel et psychique. J’ai eu le désir d’en extraire certaines techniques, pour les adapter à ma pratique de psychothérapeute, sophrologue et hypnothérapeute.

Crédit photo @Jérôme Kaminski

J’ai élargi mes recherches sur la danse des cinq rythmes de Gabrielle Roth, la thérapie par le mouvement d’ Anna et Daria Halprin et la danse spontanée.

Il m’a fallu des années pour me libérer de certains codes gestuels acquis par ces enseignements pour en dégager une danse libre, sensorielle et instinctive: celle tant recherchée!

Je pars d’une impulsion, d’une idée, d’une émotion, d’un senti, je me laisse inspirer et j’accueille ce qui advient: le geste spontané relié à soi et au monde.

Le fil conducteur est l’écoute de la vibration de mon coeur reliée entre enracinement et enciellement.

Ce qui m’intéresse, c’est la joie retrouvée que procure la danse. Celle-ci anime passionnément l’être et fait vibrer le vivant.

2021, je crée ma méthode :

La danse des rythmes du vivant qui devient :  La danse de l’onde de vie en six mouvements.